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Les harmoniques

 

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Souviens-toi, on rêvait d’un monde de justice…
Vera Nad, 26 ans, jeune femme au visage d’ange. Morte. Son corps, ou ce qu’il en reste, est retrouvé un matin dans un entrepôt désaffecté. La police conclut à un règlement de comptes entre dealers. Les coupables sont rapidement arrêtés. Affaire classée.
Pas pour tous. Mister, le pianiste au grand cœur, et Bob, son acolyte, chauffeur de taxi érudit, ne croient pas à cette version des faits. Vera était leur amie, ils se doivent de mettre à jour la vérité. Une quête qui les conduira des hautes sphères de la politique française jusqu’aux rives lointaines du Danube. De Paris à Vukovar. Des riches demeures des princes aux charniers des Balkans. Du présent au passé. Car en tout temps règnent le mal et la corruption, en tous lieux les plus bas instincts de l’homme se déchaînent. Et seul l’écho des cris des victimes ne meurt jamais.

Quatre ans après le phénoménal Garden of love, Marcus Malte renoue avec son duo de personnages fétiches pour composer cette fois une somptueuse ballade aux accents jazz. Un chant d’amour, poignant, dans lequel ces « voix chères qui se sont tues » n’en finissent pas de résonner.

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Prix Mystère de la Critique 2012

DANS LA PRESSE :

 

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« Marcus Malte, dont on se souvient du fameux Garden of love, a l’art subtil des clairs-obscurs. Sa poésie douce-amère, la mélancolie jazzy de son inspiration donnent à son texte une beauté émouvante de lucidité tragique et d’insubmersible humanité. Ses personnages touchent par l’épaisseur de leur fragilité. Et le récit, qui passe sans crier gare de l’horreur au burlesque, fait mouche dans tous les registres, embarquant le lecteur dans un arc-en-ciel d’émotions »

 

                                                                                            TELERAMA

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« Marcus Malte, coqueluche du polar français depuis le succès de Garden of love, déroule les fils d’un roman crépusculaire sur fond de standards de Coltrane ou Gerry Mulligan. Très recommandable. Â»

 

                                                                                                              ROLLING STONES

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« C’est là d’ailleurs l’étrangeté et le charme de cet auteur : il écrit du noir avec poésie ou de la poésie en noir. Quatre ans après Garden of love, Marcus Malte publie Les Harmoniques, et l’envoûtement est toujours là, plus fort encore. Â»

 

LIBERATION

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« Traversé par les accords de Gerry Mulligan et d'Herbie Hancock, le roman est aussi, et surtout, porté par l'écriture magnifique de Marcus Malte, tout entière au service de ses personnages éminemment attachants. Â»

 

                                                                                              LE TELEGRAMME

 

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« Le romancier travaille en chef d’orchestre, mène l’enquête comme un opéra, en donnant un relief sonore à chaque élément. Le suspense tient moins à la classique progression d’une intrigue policière qu’aux ruptures de rythme et d’harmonie. »

 

                                                                                                                                  MARIANNE

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